Jure, jeunesse, que dans ton lit se livrera jusqu'au trépas
Un long ménage de cris sans mot vaquant au solstice du con
Pour que l'arôme de ta fleur, puise au souvenir d'un orgasme
Ainsi rejointe dans ton œuvre par le désir et l'abandon
Tu singeras l'adieu aux larmes
Pour ne pleurer que des ébats
En amoureuse fanatique tu juguleras les faux fuyants
Trop avertie d'une souffrance qui se déguise en malheureuse
Et lentement vers l'horizon pour ne plus voir qu'un lointain
Tu porteras dedans ton cœur l'orgueil des femmes orageuses
Sans prier Dieu cet aigrefin
Qui n'en finit pas de crever
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