Je cherche parfois une Atlantide, un lieu de mer où je paresse, sans guerroyer pour le beau sexe. Je voudrais tant, dans ce limon, que mon corps jeune aux yeux d'un monde qui me répond que je ne suis rien, prenne le temps pour qu'on entende mes mots torrides brûlants d'aplomb
L'esprit vaillant des amazones me voit vainement briguer des luttes, en jacassant sur ces incultes qui ne nous voient qu'en forme de pute. Une peau morte qui colle au cul quand l'idolâtre nous vise au con, en oubliant dedans leurs vits nos mets précieux, d'un trait juteux.
Que l'on me livre une ambassade, un lieu-dit fait pour l'innommable où les vertus seraient pléthore quand il s'agit de bagatelle. Alors l'afflux de beaux messieurs caressera mon appendice au cœur duquel j'aurai fait feu, plantant la graine d'un armistice jusqu'à mes cuisses aux larmes blanches
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