Libertinage sur site
Alors que bretonnante jusque août, je regarde les mouettes chier sur quelques touristes endormis, j'en oublie ce dortoir à schneck où l'on montre son boule en cachant fort sa face.
Si le soleil chauffant intime aux plus volontaires de faire le toast sur la plage, je nargue les congés payés du haut de ma jeunesse estudiantine, tout en matant les culs potelés de damoiseaux bien faits.
C'est en ado mal dégrossie, que je suppute qu'en ces bellâtres vit une flamme romanesque qui je l'espère me fera princesse.
Ce n'est que rentrée dans mon antre que je m'étale devant l'écran à voir des bites en 16/9eme qui n'ont de nom que Baobab ou Alphabaise, cherchant des vulves aux abois qui au hasard passeraient par là.
Vise mon con, vise ma bouche, ne cherche pas ce qui me touche, à l'allure folle où l'on se couche ne sortira que le flux moite de nos egos à quatre pattes, serine ce site entêtant. La fesse grasse, l'âge avancé, la femme replète ,le chauve ingrat, sont interdits au catalogue
Ici on baise et passe la pluie d'orage, les capotes s'enfilent et les vagins défilent
Joyeux brouillons et histoires courtes s'entassent et fardent nos émois d'une liberté de pacotille, mais y a des fiers qui se voient grands d'être une élite de la nation en s'accouplant aux quatre vents
Le matin se lève et me rappelle que vit un monde sans plug anal. La mer est belle à l'aube tandis que les libertins sommeillent d'une ivresse impudique. J'irai sur le port voir les morues la gueule ouverte, ça me rappellera ce baisodrome...
Satyriasis, ou l'art de la conclusion! 😄
Ses sentences terminales tombent comme le couperet de dents acérées sur un steack de vit que l'on n'aimerait pas fournir de nous-mêmes ! Il y a du démembrement à tire-larigot dans ces pages, plus cérébral que physique, heureusement😬.
Merci de nous... régaler de cette "proésie", parfois subliminale, souvent très réaliste!