Libertinage sur site
Alors que je devisais joyeusement avec un couple sur la sexualité comparée d'un homme de gauche ou de droite. Affichant sans coup férir mon appétence pour les sociaux-démocrates en matière de cunnilingus. Non sans sourire des propensions à l'éjaculation précoce des hordes fascisantes qui envahissent nos médias. Quelle ne fut pas ma surprise de me faire chamailler par un autre couple, m'affirmant qu'on ne devait pas parler de politique ici!
Empaffés congénitaux me dis-je! Pensez-vous sérieusement qu'en ces lieux carnivores où l'on lèche des muqueuses plutôt que jouer au scrabble, il n'y aurait que du sexe sans pensée libertaire? Que la notion d'argent qu'affichent certains bourrins en baignant dans le luxe d'un jacuzzi grand large, ne fait pas ruminer l'RMiste du bled ?
Et puis cette aristo qui se plaint que des hommes débarquent en basket plutôt qu'en un trois-pièces pour irriguer sa schneck. Sans oublier ceux qui, dans un cri macronien, affirment le projet de virer de ce site tous ces « faux libertins » qui n'ont que le défaut de n'être pas comme eux. . Doit-on se faire tripoter dans un genre codifié, comme une armée de sbire aux ordres d’une secte, éructant leur dictât comme on branlotte une bible?
Mais comprenons nous bien, le reptilien moyen qui pense que les femmes ne sont bonnes qu'à tringler entre deux packs de kro avec l'avidité d'un pit-bull en chaleur, sont pour moi des opposants politiques chers camarades syndiquées!
A mater les webcams où des compatriotes réclament la sodomie à la vision d'un cul qui n'a rien demandé, complimentant d'un affectueux « elle encaisse bien la salope »la première demoiselle se faisant poliment trifouiller la rosace. , je me demande s'il ne serait pas envisageable d'imaginer des camps de rééducation façon goulag du cul.
Il est vrai qu'à mes heures perdues j'ai le tropisme stalinien auprès des quelques arracheurs de dents, pratiquant le beau sexe comme on défonce le bitume au marteau piqueur. Ne m'en veuillez donc pas si au hasard d'un show je vous claque le beignet par mes mots enragés.
Telle la liberté guidant le peuple du cher Eugène, j'ai le nichon révolutionnaire et conquérant. Si bien qu'entre deux baises, j’affûte mes godemichets pour en faire des gourdins à l'attention des misogynes de basses-cours en cavale.
Tout est politique vous dis-je, jusqu'au tréfonds pubien de nos vertes envies et je sifflerai l’internationale sur vos bites, au cœur des usines textiles pour que de belles dentelles ornent nos culs frileux.
Debout, les damnés de la baise Debout, les forçats du vagin La raison tonne en sa merguez, C'est l'éruption de l'engin
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