« La chair est triste, hélas ! » disait Mallarmé, plus d'un siècle avant qu'une pornographie galopante n'envahisse nos us jusqu'à la moelle
J'ai beau pétarader ici que les femmes sont en proue, le beau sexe est une autruche qui terre sa face en montrant son cul au tout-venant.
Mais qu'est-ce qu'elle a la pouf à monter sur ses ergots? Elle qui pavane les miches à l'air dans l’entre-soi d'un site à priapique, me direz-vous. Rien d'autre que d'éructer qu'à toutes ressembler à des pétasses fluo suçant des mâles bavards sur nos capacités à être chiennes et putes, on en oublie l'orgasme auquel on doit prétendre.
Dans cette enceinte hardie, j'ai vu craché des bites sur des joues de porcelaine ou des culs faisandés, autant qu'un pratiquant prie son dieu d'être unique. Ca dégaine avant l'heure sur de belles gourgandines prêtent à lâcher l'affaire pour se finir toutes seules, faute d'avoir trouvé mieux.
En quatre ans d'exercice sur des lives à vau-l'eau, trop peu de dames jouissent sous le feu d'un gaillard, plus prompt à zoomer sur sa bite qu'à se concentrer sur son interlocutrice en cheffe.
Il suffit de pointer, comme un taulard ses jours, le nombre de cunnis et ceux des pipes en stock, pour que toutes les pauvresses se voient battues de loin. Non qu'il n'y ait souffrance à satisfaire l'homme bon en cet acte baveux, juste que l'entourloupe réside dans le pourcentage.
Sororité oblige, je voudrais te voir jouir à chaque fois qu'on t'agrippe, dans l’envoûtement coquin d'un homme à ton service. Que ton plaisir ultime soit de pleurer soudain de n'être qu'une épave suite à trop de jouissance, couchée sur un lit blanc souillée de toute ton âme éparpillée en suc.
Alors chers camarades, oubliez vos atouts, même qu'ils fussent pelviens, et filmez son visage à l'instant fatidique où madame extatique en oublie son lendemain.
Sur ce, je vous laisse, j'ai orgasme aux îles Sous-le-Vent
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